introduction sur la liberté

introduction sur la liberté

Nietzsche reprendra cette critique :'«Aussi longtemps que nous ne nous sentons pas dépendre de quoi que ce soit, nous nous estimons indépendants : sophisme qui montre combien l'homme est orgueilleux et despotique. Pourtant, on peut aussi se dire qu’une telle conception de la liberté (par ailleurs largement partagée par tous ceux qui pensent qu’on est libre quand on fait « tout ce qu’on veut ») se heurte rapidement à des difficultés concrètes au moment où on veut la vivre concrètement, c’est-à-dire en société, car nous constituons tous une contrainte forte les uns pour les autres. La liberté, comme obligation, soumission à une loi qu'on se donne, découle du devoir. Il y a bien une forme de liberté qui précède l’Etat, mais cette liberté naturelle est une non-liberté… L'autonomie politique est incarnée par la figure du citoyen, qui abandonne son indépendance naturelle pour se soumettre volontairement à des lois qui sont , au moins parfaitement, les mêmes pour tous (Hobbes, Rousseau[2]). Nous serions alors victimes d'une illusion de. La liberté d’expression est d’abord comprise comme un droit humain. Ils disposent aussi de la liberté d'opinion suite à la déclaration des droits de l'homme et du citoyen. En effet, elles sont omniprésentes que ce soit dans notre vie personnelle, professionnelle et même dans nos loisirs. Introduction : La liberté d'expression est avant tout destinée à tous les citoyens. La première partie de ce chapitre, après une introduction sur ce qu’est la liberté, fait découvrir les différentes libertés et les différents droits que possèdent les Français. La liberté s'oppose généralement (ce n'est par conséquent pas forcément le cas) au déterminisme, au fatalisme ainsi qu'à toute doctrine qui soutient la thèse de l'obligation du devenir. Elle fait aussi l’objet de répression, parfois sévère, allant jusqu’à la violence, l’emprisonnement, la stigmatisation, l’exclusion. Vouloir, ce n'est pas être entraîné par le motif qui est objectivement le plus puissant, mais se décider pour l'un des motifs, auquel nous donnons la prépondérance sur les autres. John Stuart Mill ouvre son essai traitant de la « lutte entre l'autorité et la liberté » historique et il décrit l'ancien tyrannies dirigeants, antagonistes au peuple gouverné. Il n'est pas souhaitable, surtout pour une entreprise qui souhaite protéger son capital intellectuel, de divulguer des informations sur le réseau internet mondial. La liberté – 2ème partie : Accepter de ne pas être libre, c’est être libre. Ainsi, en cherchant à unifier nos connaissances, soit on fait de l'homme un être déterminé, dont la volonté est immanente à la nature (donc on cherche à naturaliser l'humain), soit on fait de l'homme un être transcendant, irréductible surtout à sa nature animale. Des mouvements tels que l'Open Source ou Logiciel libre tendent à faciliter l'accès à la connaissance ainsi qu'aux techniques de manière universelle, ce qui, à l'heure de la mondialisation, représente un élément pour la défense des libertés individuelles dans les pays émergents, les rendant techniquement indépendants des pays «déjà développés». Il existe bien entendu une illimitété de tels ensembles, ce qui tends à faire désigner au mot liberté des notions quelquefois forts différentes dans l'espace et le temps. Cette liberté est utilisée par différents moyens et dans des lieux variés. En philosophie, sociologie, droit et politique, la liberté est. 1. Introduction : La liberté d'expression est avant tout destinée à tous les citoyens. Un des points les plus intéressants que met ainsi en lumière cette opposition, c'est le caractère fréquemment complexe à déterminer du concept de liberté. Il faut cependant garder à l'esprit que les deux aspects se recoupent. 3 Pages • 6161 Vues. Mais si chacun a un droit naturel sur toutes choses, cette liberté naturelle est vouée à devenir une non-liberté. Ce point de vue, qui sera développé par Sigmund Freud dans son essai Malaise dans la civilisation (1929), a été discuté dès la Révolution française. Ou bien la nature est seule maîtresse des choses, ou bien l'homme est maître lui aussi au sein de la nature. Mais le problème de savoir s'il y a quelque chose de tel que la liberté reste entier. Introduction » (Jacques Bénigne Bossuet). Le premier point peut faire l'objet d'une enquête socio-politique ; son fondement métaphysique et le second point concernent surtout le problème philosophique de la liberté. Exposé sur la liberté d'expression. Les corrigés que je propose n'ont pas grand chose à voir avec ce qu'un élève est censé écrire en terminale. Le réalisme est un terme générique qu'on utilise pour désigner une certaine tradition philosophique. A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. L'unité de nos représentations serait alors une unité logique. Bienvenue néanmoins à tous ceux qui y échoueront, par hasard ou par erreur. Le problème de la liberté surgit naturellement lorsque la raison humaine cherche à unifier les différents éléments de sa représentation du monde. Ces deux critiques mettent en lumière plusieurs points importants. Mais cette liberté n'est pas la liberté au sens philosophique. La philosophie des lumières par exemple pose comme contrainte principale que «La liberté des uns s'arrête à l'endroit où débute celle des autres», ou reformulé positivement, «La liberté des uns débute à l'endroit où elle confirme celle des autres». Les problèmes théoriques soulevés par le concept de liberté amènent à se demander si la conscience de la liberté, ou l'expérience que nous en avons, porte d'une manière certaine sur une réalité ? Carmen, dit, dans l'opéra de Georges Bizet: "Ce que je … Comme dans le cas de la liberté de la presse, par exemple. On en viendrait à penser que ce genre de situation dans laquelle il n’y a plus de limites à notre action est précisément celle où se réalise la véritable liberté. Quasiment, la question serait de savoir si cela revient à dire que nier la liberté est une perspective dans laquelle on ne voit pas de contraintes morales qui empêchent quiconque de nier aussi l'humanité d'un autre homme. Cette difficulté peut être contournée de plusieurs manières : Le transcendantalisme et le déterminisme semblent par conséquent s'entendre pour retirer la liberté de l'expérience humaine. Cela tient en premier lieu au fait que la volonté n'est pas pour eux une faculté à part du psychisme, et que le psychisme n'est pas lui-même une entité scindée de l'exemplifier par un cheval (mais ce point devrait probablement être discuté selon des thèses récentes sur l'intelligence et la sensibilité animales). Reposant techniquement sur la Neutralité du réseau, elle est défendue notamment par un certain nombre En effet, en temps normal, nos actes sont endigués, canalisés entre les parois que constituent les lois, les règles, les contraintes physiques, les normes, la présence des autres, bref tout ce qui fait qu’on n’agit jamais sans être sous la contrainte et qu’on se bride. On peut vivre ponctuellement des moments pendant lesquels on fait tomber ces barrières. Ainsi au XVIIIe siècle, Jean-Jacques Rousseau défendait un paradigme du bon sauvage, considérant l'éducation comme une domestication de l'homme, et la société comme un carcan. Mais dans ce cas, la liberté n'est pas une réalité intelligible : la liberté sort du néant, elle forme une sorte de miracle, d'où le caractère presque indicible de ce concept, puisque la liberté semble être dans ce cas au-delà de la portée de l'intellect humain. C'est pourquoi le problème métaphysique de la liberté tire en fait son importance des enjeux moraux qui en découlent. Ce qui a de la valeur, la finalité par excellence de l'activité humaine, c'est la pensée, l'activité de l'intellect, conçue comme la finalité et le vrai bien de l'âme : la liberté de l'homme serait par conséquent dans la contemplation qui nécessite d'ailleurs des conditions de vie d'hommes libres. Je sais, Umaga, que ça ne vous aide qu’à moitié, mais en même temps, je n’allais pas traiter tout votre sujet ici même. L'affect correspond à tout état affectif, pénible ou agréable, vague ou qualifié, qu'il se... Cet article liste les écoles de philosophie et courants de pensée rattachant les philosophes. Ces deux plans de l'existence humaine ne sont pas obligatoirement compatibles : par exemple, l'existence des libertés juridiques est constatable, tandis que la réalité (son existence dans nos actes) et l'essence (la conception que nous nous en faisons) de la liberté posent problème. L'accès à l'internet pose de nombreuses questions éthiques concernant, entre autres, les libertés individuelles, mais également collectives. Elle est citée à l'article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme comme suit : Or, cela semble bien être une contradiction. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Autant dire qu'à strictement parler, il n'y a pas de corrigés, il n'y a que de propositions. Introduction. II est assez facile de faire l’expérience de situations dans lesquelles on a bel et bien l’impression d’être libre parce qu’on s’est affranchi des limites habituelles de notre action. Intelligence : par l'intelligence, faculté de choix, nous agissons par nous-mêmes en connaissance de cause ; nous avons un discernement de nos actes. La technique – 2ème partie : l’homme devient « maître et possesseur de la nature ». LIBERTÉ!!! Le mouvement ouvrier au XIXe siècle distingue liberté formelle et liberté réelle. Le problème ne se pose par conséquent pas, puisque dans cette perspective, il ne s'agit que d'un non sens métaphysique. Il est indispensable d'établir des règles, et différents niveaux d'accès et de confidentialité pour les partenaires et les parties prenantes[4]. C'est à cette condition que, selon cette théorie, les hommes peuvent être libres ensemble. Voir l'article détaillé pour des élèments de réponse : Fatalisme. C'est l'union de la spontanéité et de l'intelligence. Spontanéité de la raison : c'est la faculté de créer du nouveau, d'ouvrir des envisageables : la raison sert à poser un acte non déterminé par des causes passées. Or, il n'y a pas de liberté sans loi (Rousseau, Emmanuel Kant), car la liberté de tous serait en ce sens contradictoire : les désirs universalisés s'annuleraient. C'est pourquoi, pour certains philosophes, vouloir prouver la liberté par des faits ou des raisonnements est une absurdité : «un homme qui n'a pas l'esprit gâté, n'a pas besoin qu'on lui prouve son franc arbitre ; car il le sent. Il faut se défaire de la définition courante de la liberté : "Le pouvoir de faire ce qu'on veut. " Nier la liberté, cela implique-t-il qu'il ne soit pas interdit de nier, opprimer, torturer ou détruire l'autre ? Belle illustration que « Cube » pour illustrer le concept et les différents aspects de la liberté ^^ J’aime, etre libre c est faire ce qui nous plait c est accomplis nos desirs. Nous vivons au sein d'une société où les Hommes sont aujourd'hui considérés comme libres et égaux et dans un Monde où la volonté des peuples à disposer d'eux-même, ... Nous avons donc mené une réflexion sur la liberté et sur les limites qu'il était nécessaire de nous fixer. Ce sont les Modernes, à partir de Kierkegaard, puis Heidegger et Sartre, qui ont fait de la liberté une réflexion centrale de la philosophie, comme en témoignent les citations célèbres sur la liberté. Une critique moraliste : cette liberté relève de la licence, i. e. de l'abandon au désir. Elle se heurte aussi à des difficultés philosophiques; en effet, si la liberté était effectivement l’absence de toute contrainte alors on pourrait se dire que la liberté est un idéal hors de portée car il est évident que le monde en lui même avec ses lois physiques, son fonctionnement social etc. Votre professeur, pour bien vous orienter, a besoin de savoir ce que vaut votre travail quand vous le faites par vous même, et n'a que faire de savoir que vous savez bien recopier des sites trouvés sur le net. qu'elle est une notion qui qualifie l'indépendance de l'être humain ; d’autre part, d'une manière positive, elle désigne l'autonomie et la spontanéité d’un sujet rationnel c'est-à-dire qu'elle qualifie les comportements humains volontaires et en constitue la condition. Le bon usage de la liberté est aussi l’une … Ces limites sont dans l'intérêt même de la liberté, pour éviter la tyrannie, les conflits et l'esclavage. Ensuite, vous remarquerez que l’expression « faire ce qu’on veut » a quelque chose de paradoxal dans la mesure où, étrangement, beaucoup de ceux qui affirment faire ce qu’ils veulent semblent manquer singulièrement de … volonté (de la même manière que ceux qui n’en font qu’à leur tête se comportent mystérieusement pile poil comme s’ils venaient de subir une ablation de la tête). Être relié n'est pas forcément négatif, car l'intersubjectivité est peut-être plus principale que l'indépendance du moi, étant donné que le moi est relation aux autres. Cette liberté est utilisée par différents moyens et dans des lieux variés. « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. Avoir connaissance de quelque chose comme la liberté, cela ne suppose-t-il pas en même temps d'avoir la preuve de son existence ? Indépendance : notre arbitre est indépendant à l'égard des contraintes des penchants de la sensibilité. Si cette liberté existe, alors il y a une différence radicale entre l'homme et la nature. Il est impossible de penser la liberté de manière isolée. La notion de « liberté d’expression » renvoie à trois éléments distincts mais étroitement reliés. Liberté d'indifférence (voir Libre arbitre). Quel effet cela fait-il d'être une chauve-souris ? Mais on retombe alors dans les difficultés évoquées au début de cet article : le sentiment de la liberté, ou son intuition, n'est ni clair ni probant. Intro De Disserte Sur Le Liberté Elle semble inintelligible et on risque de ne plus savoir si on est libre ou non. C’est une option mais on voit mal comment on pourrait éviter d’en déduire son impossibilité. La liberté peut par conséquent former un attribut de l'être humain, de sa volonté, et être la condition de droits naturels ou positifs, mais également de devoirs ; la réalisation effective de l'acte volontaire peut néanmoins comporter une dimension vécue qu'on ne saurait diminuer à ce qui précède. Vouloir, ce n'est pas être entraîné par le motif qui est objectivement le plus puissant, mais se décider pour l'un des motifs, auquel nous donnons la prépondérance sur les autres. 33, numéro 1, printemps 2014. Pour Hobbes, la liberté est donc l'absence d'obstacle à la réalisation de ce que la force et l'intelligence d'un individu peuvent réaliser. La liberté est en général un concept qui désigne la possibilité d'action sans contraintes d'un individu. Ceci est toujours valable même au XXe siècle, chez Sartre par exemple (voir plus bas), quand il renverse le rapport de l'essence et de l'existence. D'autre part, je souhaite rappeler aux élèves de Terminale que le bac demeure un examen, il ne s'agit pas (encore) d'un contrôle continu. mais on peut chercher à la sauver en faisant un être transcendant l'expérience et une condition de cette expérience. Elle est définie, et est perçue différemment selon la psychologie du sujet : Cette notion est à la fois conçue comme une valeur abstraite et normative de l'action humaine et comme une réalité concrète et vécue[Quoi ?]. Dissertation sur la citation "La Liberté Consiste à Ne dépendre Que Des Lois", Voltaire. Si oui, à quelle genre de réalité a-t-on affaire ? Comme il y a sans doute tout autant... La liberté est la faculté d'agir selon sa volonté suivant les moyens dont on dispose sans... �La liberté politique est le droit, ou la possibilité, d'autodétermination comme expression... La philosophie hellénistique est la totalité des courants philosophiques de la période hellénistique. Une définition du sens commun serait : la liberté est de faire ce qu'on désire sans rencontrer d'obstacle. on peut nier le problème, en disant que la liberté n'existe pas. Un ouvrage comme Sa Majesté des mouches de William Golding suggère au contraire que l'homme privé des contraintes sociales n'en devient pas obligatoirement meilleur. La liberté d’expression, c’est quoi? Sénèque – La brièveté de la vie; une conception stoïcienne du rapport au temps. La liberté telle que no… est une contrainte dont on ne peut se débarrasser. Autrement dit, la liberté correspond au fait de ne pas être empêché de faire une chose que l'on a le pouvoir de faire. Vous y trouverez des compléments du cours fait en classe, des corrigés de dissertations effectuées pendant l'année, et des documents divers, selon l'humeur du rédacteur et ses projets en cours. La «preuve» de la liberté se ramènerait par conséquent à «l'épreuve» «d'un vif sentiment interne» (Leibniz), qui suffirait à en faire une donnée immédiate de la conscience (Bergson). La loi est par conséquent indispensable et il faut limiter l'extension de la liberté pour garantir son exercice. Vivre dans l’illégalité fait tomber la barrière de la loi, ne pas se soucier des autres fait tomber celle de la morale. La totalité de cette problématique et les différentes conceptions des philosophes du passé permettent de voir plus exactement en quoi la liberté est un concept métaphysique essentiel : ses conséquences morales sont en effet énormes. Nier la liberté, ce serait par conséquent supprimer l'essence de l'homme. -en politique la liberté signifie le pouvoir d'agir au sein d'une société selon sa volonté. Après tout, si vous posez la question, c’est que vous pensez être confronté à une certaine forme d’impossibilité à réaliser le travail qui vous est demandé. Dans ce cas, la raison se donne à elle-même sa loi, elle légifère sans rien emprunter à la nature. L'aliéné ou l'homme ivre peuvent s'imaginer agissant de leur propre chef ; énormément plus, même un homme tenu pour sain d'esprit est susceptible de se faire de graves illusions sur son propre compte. «Il existait deux opinions sur lesquelles se partageaient les anciens philosophes, les uns pensant que tout se produit par le destin, en sorte que ce destin apportait la force de l'obligation (Démocrite, Héraclite, Empédocle, Aristote étaient de cet avis), les autres pour qui les mouvements volontaires de l'âme existaient sans aucune intervention du destin ; Chrysippe, en position d'arbitre officieux, me paraît avoir choisi la position intermédiaire ; mais il se rattache plutôt à ceux qui veulent voir les mouvements de l'âme libérés de l'obligation.». [‘Le seul but pour lequel le pouvoir peut être exercé légitimement sur tout membre d’une communauté civilisée, contre sa volonté, est de prévenir tout préjudice à autrui. La liberté est une qualité de la volonté. Le mikkyo, terme japonais, sert à désigner l'enseignement secret du bouddhisme ésotérique Shingon... Saint-Victor est une ancienne abbaye de chanoines réguliers, fondée au XIIe siècle par Guillaume de Champeaux,... La gnose de Princeton est le titre d'un ouvrage rédigé par Raymond Ruyer. Ainsi, tandis que l'indépendance concerne les causes externes (définissant ce que je peux), l'autonomie concerne les causes qui sont la source de la volonté (définissant ce que je veux). La liberté, comme condition des notions morales, donne un sens aux choix moraux en bien comme en mal : ou, c'est à dire, l'essence de la liberté, c'est le devoir. Mais la question se pose : si tout dépend du destin, comment certaines choses peuvent-elles toujours dépendre de nous ? Le problème de la liberté surgit naturellement lorsque la raison humaine cherche à unifier les différents éléments de sa représentation du monde. Carmen, dit, dans l'Opéra de Georges Bizet : «Ce que je veux, c'est être libre et faire ce qui me plait», «avoir pour pays l'univers et pour loi sa volonté». Il existe cependant un point de vue opposé à cette vision de l'éducation comme moyen de la liberté. la Corée du Nord. On voit, par ce bref historique, que le problème de la liberté en Occident n'est pas séparable de l'histoire du concept de Dieu. Revue Droits et libertés, Vol. D’autre côté, Selon Rousseau la vie en société favorise la liberté des êtres humains, parce que l’édifier d’une société fondée sur la justice est le droit qui apportera la liberté civile à l’être humain. ? L'action va par conséquent prendre de la valeur, ou changer de valeur, étant donné que le libre arbitre est désormais métaphysiquement valorisé : cette valorisation a une origine morale, surtout pour l'explication du péché. Gallimard, Gérard Mairet (2000) 1651. Introduction (2) Pour rappel, voici le principe de non-nuisance tel que défini par Mill, et qui forme l’axe de sa réflexion sur la liberté en général, et sur la liberté d’expression en particulier. Mais les doctrines de ce genre ont-elles obligatoirement ces conséquences ? En ce sens, pour votre cas particulier, le pouvoir à quelque chose à voir avec le vouloir. Néenmoins si la liberté se manifeste comme phénomène empirique, il faut quoiqu'elle se conforme aux lois de la nature. Cette liberté absolue se nomme « le libre arbitre » dont la définition la plus claire est peut-être celle donnée par le philosophe français contemporain Marcel Conche qui nous dit que « le libre arbitre cest le pouvoir de se déterminer soi-même sans être déterminé par rien ». 1. Est-ce une substance, une essence, une faculté, un acte, etc. La physique hellénistique est ainsi nettement déterministe. C'est l'absence de contrainte et l'indépendance, comme, par exemple, le vagabond non assujetti à un ordre social (Arthur Rimbaud, Jack Kerouac, etc). Dès lors il est nécessaire de se préparer à cette épreuve et de fournir des travaux qui soient personnels. Il faut par conséquent plus que la conscience pour savoir si effectivement nous sommes libres. Comment en a-t-on connaissance ? la liberté est un état une situation d'une personne qui n'est pas soumis à quelqu'un. Comment penser la liberté comparé aux libertés ? Le problème qui se pose est principalement d'ordre moral. Paul Valéry développe pour sa part l'idée que «la liberté est l'un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens, qui chantent plus qu'ils ne parlent, qui demandent plus qu'ils ne répondent, de ces mots qui font l'ensemble des métiers»[1]. Introduction à la liberté. Un philosophe est une personne pratiquant la philosophie. Cette idée de l'artisan se rencontre déjà chez Platon, mais sous une forme qui n'est pas créationniste : la théologie antique fait plutôt de Dieu un intellect non impliqué dans la création de la matière, même s'il peut y être engagé, par exemple pour y mettre de l'ordre. Il faut en tirer toutes les conséquences : l'épreuve de philosophie se fera en temps limité et dans une salle sans communication. Épicure fut contraint d'inventer le clinamen, et les stoïciens inventèrent des raisonnements particulièrement subtils pour tenter d'échapper à ce qui est comparable à une conséquence inévitable de ce qu'on nomme actuellement le physicalisme. Doit on dès lors s’attacher à cette conception de la liberté? Une conséquence importante de cette conception ancienne de l'âme, c'est que l'action, ou du moins un certain type d'actions, a, pour les Grecs, une dignité moindre ; ce que montre par exemple l'esclavage et l'artisanat. Si l'homme est affecté par des penchants qui inclinent son arbitre, il peut les mettre de côté, les suspendre, pour agir selon d'autres motifs issus de la raison. Conférencier : Éric Lowen — Parmi les différentes questions auxquelles s’attaque la philosophie, la liberté est certainement une des plus complexes car cette notion est reliée à tout un réseau d’autres idées. La question de la liberté peut être reconnue comme une question métaphysique par excellence étant donné qu'elle concerne le statut de l'être humain au sein de la nature. Comment ça marche la rando au Québec ou Compostelle? La nature est ici entendue comme un pur enchaînement causal ; il s'agit alors de concilier les deux affirmations : responsabilité morale et actes déterminés. La volonté commande l'action en fonction de représentations ; elle est susceptible de substituer aux mobiles sensibles des motifs raisonnables. Sujet traité : La vérité est elle soumise au temps ? Un mot pour ceux qui tomberaient sur ce blog en ayant tapé dans google l'intitulé de leur sujet. Cette liberté n'est pas contraire à la nature ainsi qu'à son obligation, dans la mesure où elle est la réalisation idéale de l'essence de l'homme (il ne faut par conséquent pas confondre l'emploi qui est fait ici du mot liberté avec d'autres emplois qui sont faits ailleurs dans l'article). Par la suite, le libre-arbitre deviendra un trait essentiel de l'anthropologie de Thomas d'Aquin. La liberté comme libre arbitre de la volonté ; Spontanéité : c'est le fait de trouver au sein de soi le principe de ses mouvements. La liberté donne un sens à l'existence humaine : renoncer à la liberté, c'est renoncer à la qualité d'homme. SUR LA LIBERTÉ CHRÉTIENNE ET LA LIBÉRATION «La vérité nous rend libres» INTRODUCTION. On voit bien ici en quoi une détermination métaphysique, en apparence particulièrement spéculative et complexe, peut se montrer décisive pour la vie, pour l'existence concrète.

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